Revue 

30 ans de concerts

"Il n'a pas encore quatorze ans. Mais ce n'est pas l'enfant prodige qui m'épate, c'est le musicien!... Au premier coup d'archet on a compris. Frédéric Pelassy n'est pas un surdoué mais un musicien, un vrai. Quelle lucide autorité dans l'attaque. Et tout de suite que de pertinence dans le phrasé : nuances contractées, discours bien articulé. Les détails sont fins, la justesse 'pointue', le tempo implacable. Et la vertu technique s'épanouit sereinement : la vélocité n'est jamais oppressée, l'exploit demeure souriant. Du magnifique violon avec une âme! Quelque chose de rare." 

J. Fumet, Le Courrier de l'Ouest, 13/09/1986

"LE VIOLONISTE FREDERIC PELASSY EMBRASE LES CYMAISES. Remarqué en 1985 par Yehudi Menuhin, le jeune Frédéric Pelassy a fait honneur à son parrain. Nous étions au XVIII° siècle, dans les salons rutilants du château, au pied d'un orchestre d'une vingtaine d'années de moyenne d'âge, essayant de suivre son jeune soliste, souriant et décontracté dans le maintien, concentré et brillant dans le jeu. Détaché clair, médium chaud, phrasé élancé : du 'haut' de ses quinze ans, Frédéric a chanté Mozart avec fraîcheur et reçu une salve d'applaudissements."

Jacques Renou, Ouest-France, 27/08/1987

"LES SORTILEGES DU PETIT MAGICIEN. Je n'aime pas les grands mots mais là, il va tout de même falloir que je fasse un effort. L'an dernier, dans le concerto de Mendelssohn, le 'petit Pelassy' m'avait déjà enthousiasmé. Et puis il y a eu vendredi un concerto en Mi de Bach ample et plein de couleurs, et samedi un formidable concerto en Sol de Mozart ponctué de trois bis. A chaque fois, ce diable de gamin a fait mieux qu'interpréter une partition. Il a prouvé qu'il commençait à imprimer à la musique sa personnalité propre de musicien. A quinze ans, il a déjà un 'son', qui contient comme la promesse d'un vibrato dans le style, magique, de Jasha Heifetz. Et puis cette main gauche aux longs doigts agiles, qui recèle sans doute le potentiel d'une virtuosité aussi diabolique que celle de Itzhak Perlman. C'est trop ? Sans doute pas, car en musique plus qu'ailleurs les promesses ne se réalisent qu'à force de travail. Ce que nous voulons lui dire aujourd'hui, c'est qu'il n'oublie jamais que ses premiers 'fans' sont en Saumurois et que, lorsqu'il sera (ce dont personne ne doute) un concertiste international, il pense de temps en temps à revenir promener son archet sur les bords de la Loire."

X. D., Le Courrier de l’Ouest, 01/09/1987

"FREDERIC PELASSY : UN ETONNANT VIRTUOSE. L'Ensemble Vocal de la Chapelle Royale, le Collegium Vocale de Gand et l'Ensemble Orchestral de Paris étaient placés sous la direction de Philippe Herreweghe. Et l'on attendait, si l'on peut dire, le soliste au tournant... Un gamin de quinze ans, pensez donc! Mais on s'aperçut rapidement que le jeu subtil de Frédéric Pelassy est d'une maîtrise superbe qui tient de la performance. Dans le monde serein et heureux, teinté parfois d'une certaine mélancolie, qui est celui de Mendelssohn, le violon de Frédéric Pelassy a les accents qu'il faut. Il exprime dans toutes leurs splendeurs les mélodies contenues dans ces pages, qu'il s'agisse des lignes pures de l'allegro molto appassionato, de la tranquillité douce et méditative de l'andante, du clair pétillement de l'allegro molto vivace. Cela sans afféterie de quelque sorte que ce soit et avec la simplicité souriante et résolue qui est celle des grands artistes."

Ray, Libération-Champagne, 28/09/1987

"LE CONCERT A LA CATHEDRALE : PLEBISCITE POUR FREDERIC PELASSY. A l'âge où d'aucuns ânonnent encore leurs gammes, ce jeune soliste s'affirme comme un virtuose en herbe qui pourrait dans un avenir proche s'inscrire parmi les ‘grands'. Déjà il se joue des difficultés d'un archet souple et léger, attentif à respecter la moindre nuance, s'effaçant avec modestie derrière le compositeur. De tout temps, ce concerto a été considéré comme une oeuvre pour virtuose et maint violoniste y a brillé de sa propre gloire. Frédéric Pelassy n'a jamais cherché à tirer le couverture à lui tout en démontrant une dextérité, une ductilité, une maîtrise de l'instrument particulièrement sensible dans un troisième mouvement au dialogue serré, volubile, parfaitement contrôlé. Toutes qualités confirmées par le caprice de Paganini donné en bis, pour une ovation triomphale saluant un espoir de première grandeur."

Jean Nadal, L'Est Eclair, 28/09/1987

"UNE ETOILE EST NEE. Il s'appelle Pelassy, Frédéric Pelassy. Rappelez-vous de son nom, il aura peut-être sa place dans votre collection de disques compacts d'ici quelques années. Enfant prodige! On est tenté de répondre avec la même chaleur que ceux qui étaient venus au rendez-vous avec l'Orchestre de Bernard Thomas, et pour qui la surprise a été totale. 'Avec Frédéric, expliquait le chef d'orchestre, vous assistez à la naissance d'une étoile dont les qualités et la sensibilité vont bien au-delà de la simple virtuosité technique."

Nemours Infos, 12/1987

"FREDERIC PELASSY CHARME LES MELOMANES. Curieusement, le jeune soliste sembla donner confiance aux musiciens. Ce fut un véritable plaisir de le voir s'amuser dans les monologues concoctés par Mozart... Il fit passer un réel moment d'émotion. Les rappels prouvèrent qu'il avait conquis le public."

A. L., La Voix du Nord, 15/12/1987

"Frédéric Pelassy : déjà l'aisance d'un grand virtuose. Le sourire accroché à son violon, il anime son instrument, ses doigts le caressent avec une dextérité qui laisse pantois... Le public est sous le charme et conquis."

Danièle Motton, Le Maine Libre, 07/09/1987

"TRIOMPHE POUR FREDERIC PELASSY. D'un geste rapide, le jeune virtuose cale son violon contre son cou, lève son archet et lance ses longues mains fines. Frédéric n'a pas de partition. Dans le public l'attention se creuse : le concerto en Ré Majeur pour violon de Beethoven prend toute sa puissance... On redécouvre la béatitude!"

Odile Cohard, Le Dauphiné, 20/03/1988

"FREDERIC PELASSY : UN GRAND MOMENT. Frédéric Pelassy grandit bien, sans affectation ni sur scène ni dans la vie. Il y avait quelque chose de saisissant à voir combien son geste, même s'il a pris de l'ampleur, reste d'une totale sobriété, à l'instar de la battue de Pierre Dervaux... Avec son concerto pour violon de Tchaïkovski, l'une des difficultés majeures du répertoire, Frédéric Pelassy a subjugué le public."

François Tartarin, La Nouvelle République, 29/08/1988

"LES RICHES HEURES DU VIOLON D'UN JEUNE ARTISTE PRODIGE... Et l'on s'émerveillait de voir avec quelle facilité ce 'gamin' utilisait son archet, dont Bernard Thomas nous avait raconté l'histoire, avec quel sentiment il usait du vibrato, avec quelle souplesse il plaçait ses harmoniques, rendant à chaque mouvement le ton voulu par le compositeur: l'allegro et l'allegretto marquaient leur différence; l'adagio de Beethoven, un des plus beaux jamais écrits et celui de Brahms se déployaient autrement; quant à la rapsodie de concert que Maurice Ravel composa en 1924, 'Tzigane', avec son tourbillon d'effets, de glissendi, de pizzicati, de doubles cordes, elle n'avait aucun secret pour notre Paganini... Que ne peut-on faire quand on est aussi musicien ?"

A. G., Le Midi Libre, 21/07/1988

"PELASSY : L'ENFANCE DE L'ART. Petit conseil aux parents dont les enfant commencent à s'escrimer au milieu des archets, violons et partitions : ne les emmenez jamais voir un concert avec Frédéric Pelassy. Vous risqueriez de les dégoûter de l'apprentissage du violon pour le restant de leurs jours. A seize ans et deux mois, le 'petit' Pelassy semble déjà tellement arrivé au sommet de son art que ça en deviendrait vite écœurant. La musique qu'il sort de son violon fait comprendre au plus obtus des mélomanes la différence qui existe entre le talent et la grâce. Avec lui, le violon devient l'enfance de l'art et l'art de l'enfance. Sans complexe ni hésitations, face au public, il redonne tout son sens ludique à l'expression 'jouer de la musique'..."

P. Augereau, Le Courrier de l'Ouest, 29/08/1988

"Accompagné de Bruno Rigutto au piano, il achèvera le concert par la troisième sonate de Brahms. Le public est conquis et applaudit même quelquefois entre deux mouvements. Rien de grave! C'était spontané. Frédéric ne se départit pas de sa concentration et, au terme de la sonate, ses auditeurs lui font un triomphe. Rappel. Rappel. Très spontanément, Frédéric Pelassy offrira à son public le 5ème caprice de Paganini. Merci pour cette conclusion fabuleuse au premier festival Musique au Chambertin."

Laurette Rouget, Le Bien Public, 11/10/1988

"CAMERATA OHNE ALBERTO LYSY. Die bekannte Camerata-Quälitäten kamen auch ohne den Meister zum Klingen. Da wurde durchwegs sehr präzise, sauber, dynamisch aufgefeilt und rhythmisch belebt musiziert... Und Arnold ? Ich muss gestehen, dass ich das 1962 für Menuhin und Lysy komponierte Doppelkonzert als Höhepunkt empfand. Pablo Saravi lieh dem zweiten Part Noblesse des Tons und klare Akzente, während der erst 17jährige, hoch begabte Frédéric Pelassy an der ersten Geige Subtilität und Brillanz sowie dunkel glühende Bratschentiefen und, zusehends gelöster, musikantischen Glanz verband... Und als die anfängliche Angespanntheit aus den Gesichtern der übrigen Musiker(innen) zu verschwinden begann, war des Beifalls in der vollbesetzten Kirche kein Ende mehr."

Der Bund, 18/08/89

"FRENCH PRODIGY TRANSLATES MELODY WITH REFINED FEELING... Frédéric Pelassy displayed his innate talent and great mastery for technical skills in his violin presentation with the Nusantara Chamber Orchestra. Simple, slender and very young (18 years), Pelassy has a quality that stuns and elates at the same time. Playing the violin in Felix Mendelssohn's concerto, Frédéric Pelassy was indeed the genius he is said to be. Sensitive, yet powerful, he brought out the finest sounds accurately and sublimely translated the melodic lines of Mendelssohn's music into a happy and peaceful intimacy... One might wonder whether Menuhin has in fact found his successor."

Carla Bianpoen, The Jakarta Post, 18/09/1990

"LE GENIE ADOLESCENT! Deux jeunes gens, presque deux adolescents (le violoniste, surtout, dont les dix-huit ans vus de la salle en paraissent à peine quinze!) : Frédéric Pelassy (violon) et Christophe Simonet (piano) offraient jeudi soir au Cargo, à un public captivé, l'un des plus beaux, l'un des plus émouvants concerts de musique de chambre qu'il nous ait été donné d'entendre cette saison et même ces toutes derniers années. Au menu Mozart, Beethoven, Brahms. On ne peut imaginer programme plus classique, plus intimidant aussi, quand on songe au poids des références et de la discographie! Rien de plus difficile aussi que la trompeuse simplicité de la sonate en Sol K. 301 de Mozart... et pourtant cette première oeuvre attira tout de suite l'attention, laissant d'emblée comprendre que le duo Pelassy-Simonet avait non seulement 'quelque chose à dire', mais le disait avec une authenticité, une grâce, une fraîcheur aussi extraordinaires que désarmantes.

La 7ème sonate en ut mineur, l'une des plus discrètement belle de Beethoven, sous l'archet tour à tour ferme et léger de Frédéric Pelassy, sous le toucher inventif et subtil de Christophe Simonet, retrouvait sa sève, sa jeunesse, sa splendeur : une musique ailée que les deux musiciens ont su faire danser au rythme ternaire du scherzo, comme peu ont su le faire avant eux, restituant au premier mouvement son mystère, au final son côté bondissant, en une jubilation intense et parfaitement maîtrisée.

On reste stupéfait devant ce mélange de fougue et d'intériorité, on est ému, bouleversé par l'émerveillement évident des deux interprètes devant une partition qu'ils relisent avec attention et passion, faisant table rase des références du passé, ce qui leur permet de retrouver la vraie fidélité au texte : un phrasé plein de trouvailles, des tempos d'une justesse infaillible, une intelligence musicale qui ressemble à de l'instinct, mais qui va tellement plus loin!

Brahms (sonates n° 2 en La et n° 1 en Sol) ainsi traduit et vécu par des musiciens aussi jeunes, avec une telle justesse stylistique, une telle profondeur, voilà qui relève du prodige. Ici, ce sont les recherches de sonorités qu'ont privilégiées les deux instrumentistes, mais jamais de façon gratuite et avec une plénitude qui sait conserver l'élégance fondamentale de cette musique; les deux partenaires établissant entre eux un dialogue fantasque et cohérent à la fois, avec une sincérité, une pudeur dans la générosité, une pureté de l'émotion qui bouleversent l'auditeur. Et je ne rappelle que pour mémoire leur éblouissante virtuosité qu'ils ont le tact de ne jamais mettre en avant! Je n'aime guère les superlatifs... mais face à ces deux étonnants garçons, je risquerai pourtant le mot 'génie'... Oui, le génie adolescent, en espérant que les années et l'usure du métier ne terniront jamais ce miracle!"

Louis Garde, Le Dauphiné, 01/04/1991

"Christophe Simonet et Frédéric Pelassy : deux formidables artistes à la sensibilité, à l'intelligence éblouissantes. En leur compagnie la soirée fut un réel enchantement, un rêve qu'on aurait aimé poursuivre davantage."

La Voix du Nord, 11/04/1991 

"UNE NUIT FEERIQUE. Les spectateurs étaient sous le charme, un courant d'émotion passait. La musique appartenait à la nuit et à son mystère. Et chacun se laissait prendre, personne n'osait applaudir. Mais l'instant venu, les bravos se déchaînèrent, les artistes durent revenir trois fois et pour un dernier rappel, jouer en improvisation. C'était sublime!"

La Nouvelle République, 12/08/1991

"UN CONCERT DE GRANDE CLASSE. Frédéric Pelassy, tout comme son maître Yehudi Menuhin, est sans conteste - et à dix-neuf ans - un grand violoniste. Réjouissons-nous qu'il soit français au milieu d'une élite ordinairement composée d'étrangers. Sa sonorité, du grave à l'aigu et l'extrême aigu s'affirme (ce qui est rare) avec la même justesse. Pas un accroc sur les cordes voisines, pas un sifflement d'archet, tout est parfait, et cette technique transcendante se double d'un impact expressif irrésistible, qui s'épanche aussi bien dans la douceur que dans la force et sur toute l'étendue de l'instrument... Un tempérament et un lyrisme de haute et pure musicalité!"

La Montagne, 12/08/1991

"BEWUNDERNSWERTE GEIGERISCHE BEGABUNG. Es war im Grunde schon ein Abend der Superlative. Nicht nur, dass gleich zwei berühmte Violinkonzerte auf dem Programm standen - das von Max Bruch und das von Mendelssohn -, es folgte, als Solo-Zugabe des mit einer wahrhaft bewunderungswürdigen Kondition ausgestatteten Geigers, auch noch die komplette Chaconne aus Bach zweiten Solo-Geigensuite. Frédéric Pelassy verfügt auf einem schönen, schlanken Ton und große musikalische Differenzierungsfähigkeit, gepaart mit Intonationssicherheit und beachtlichem technischen Können. Pelassy brachte darüber hinaus aber auch ein sicheres Gespür für die Klang- und Ausdruckswelten typisch deutscher Romantik mit, wie sie sich in Rheinkultur zeigt. Dabei vermied der junge Franzose jegliche 'sentimentalen Drücker' oder zuviel Vibrato : alles blieb stets von quasi 'reiner Schönheit' geprägt, was vor allem natürlich den jeweiligen Adagio- und Andante-Sätzen zugute kam. Bestens disponiert aber auch die so wesentliche Kadenz zwischen Durchführung und Reprise im ersten Satz des Mendelssohn-Konzertes, und elfenhaft grazil der Final desselben Konzertes."

B. Kaemptert-Weitbrecht, Bonner General Anzeiger, 14/01/1992

"JUNGE MEISTER : DAS DUO PELASSY. Sie sehen aus wie Schüler und sie musizieren wie Meister... Wie sehr die beiden Künstler harmonieren wurde gleich bei Mozart deutlich. In völliger Übereinstimmung ließen sie weite Melodienbögen erstehen, transparent in der Phrasierung und mit ausdrucksvoller Dynamik. Behutsam wurde Beethovens Sonate Nr. 7 begonnen, um dann das von Donnergrollen untermalte Kopfthema markant aufzustellen. Mit der überaus innig gestalteten zweiten Satz, dann dem tänzerisch beschwingten Scherzo und dem feurigen Final-Satz, war dies insgesamt ein Beethoven mit Silberstift und nie in Al-Fresco-Manier. Klangbilder, deren Farbenpracht faszinierte, bot Gabriel Faurés A-Dur Sonate glühend vor Leidenschaft in der Ecksätzen, aus Dunkelheit zu lichtem Glanz aufsteigend im zweiten und mit einem virtuosen Furioso im dritten Satz. Höchste technische Anforderungen waren da an beide Interpreten gestellt und wurden mit Bravour gemeistert. Auch die vielfältigen Stimmungen, mit denen César Franck seine A-Dur Sonate angereichert hat, kamen in einer plastischen Widergabe zur Geltung - stets edel im Klangbild, waren dies Zeugnisse genialer Könnerschaft, die enthüllte, was an Geist und Seele in einem Notentext verborgen liegt."

Gerd Bischoff, Morgen, 28/02/1992

"He plays with charm and an unkempt romantic spirit... Always a pleasure to listen to and certainly a name to follow."

Richard Langham Smith, The Strad, 04/1992

"FASZINIERENDE MUSIKALITÄT : Frédéric PELASSY UND CHRISTOPHE SIMONET STELLTEN SICH IM SILCHER SAAL VOR : In Mozart bestand völlige Einigkeit in der Behandlung der Artikulation und der Phrasierung... Beide verfügten (in Brahms) über die notwendigen agogischen Freiheiten der Gestaltung, beide besaßen Innigkeit und Wärme. Auch eminente Kraftentfaltung führte nie zu Grobheit. An Delikatesse war (in Debussy) das französische Duo nicht zu übertreffen, es erreichte ein Optimum an raffinierter Beweglichkeit. Den überaus effektvollen Schluss bildete die Violinsonate in A-Dur von César Franck, deren Wiedergabe nicht allein die grandiosen Seiten dieses einzigartigen Werks zur Geltung brachte, sondern auch seine phantastischen, geheimnisvollen. Die Mischung von gewaltiger Akkordik und sensibelsten, der Improvisation sich annähernden Nuancierungen zerbrechlicher Linien beeindruckte das höchst aufmerksame Auditorium sehr."

Südwest Presse, 21/10/1992

"MUSIK, WIE MIT LICHT GEMALT. Hut ab vor der Leistung der Künstler, beide mit klar konturiertem Spiel und sinnigen Tempofreiheiten. Der nie schrille Ton Pelassys und die differenzierte Anschlagskultur Simonets wurden ganz in den Dienst des Werks gestellt. Auch der optische Eindruck verriet Konzentration auf das Wesentliche : keine überflüssigen Bewegungen, keine Effekthascherei."

Roland Furch, Mainzer Rhein Zeitung, 27/10/1992

"Farblich fein schattierte Stimmungen ergossen sich in eleganter Tonfülle. Geschmacksvolle Süße und drängendes Feuer vereinigten sich zu sinnvollen, natürlich anmutenden Ausdrucksmomenten, in denen subjektive Darstellungsfreiheit und formale Logik symbiotisch zusammengeführt waren. Eine hervorragende Leistung."

S. F., Allgemeine Zeitung, 27/10/1992

"Juvénile et rieur, Frédéric Pelassy est rempli de qualités stupéfiantes. Il n'est pas étonnant que le grand maître Georges Cziffra le place d'ores et déjà sur un pied d'égalité avec Yehudi Menuhin."

Le Progrès, 09/12/1992

"FREDERIC ET UKIO : LE GENIE. Ils ont laissé dégager de leur musique une sensibilité exemplaire, une force et une puissance remplie d'émotion... Un déferlement de musique, trouvant tout son écho dans cette église majestueuse."

La Tribune, 10/12/1992  

"Lyrisme ardent, profondeur de sentiments et puissance d'une émotion incomparable... Un grand moment!"

Les Dépêches, 16/01/1993

"VIOLON ET ORGUE EN APOTHEOSE. Etonnant et merveilleux : le concert donné par Pierre Méa et Frédéric Pelassy a subjugué le public qui avait rempli le vaste édifice. De l'avis général, ce fut le meilleur concert d'un festival pourtant d'un excellent niveau. Jeu mélodieux et raffiné, équilibre parfait entre les deux musiciens. La musique de Méa et Pelassy est apparue généreuse, enjouée, envoûtante, pleine d'émotion troublante prolongée par une sensibilité délicate. Ovations et rappels pendant de longues minutes. Le bonheur des mélomanes était total."

Robert Guinot, La Montagne, 13/08/1993

"PELASSY & HUPMANN : SAMPLE OF EXCEPTIONAL MUSICIANSHIP. A dazzling violinist and a superb pianist - put them together, add flawless rapport and understanding between the two, and the results are sheer magic. The performance in Jakarta concluded a tour which took them to Surabaya, Yogya and Bandung, where they were just as enthusiastically received. Small wonder. There is no doubt in my mind that this recital far outshines any similar music event held in Jakarta to date. In a way, Pelassy and Hupmann have spoiled music lovers for other performers of the same type of music. It won't be surprising if every member of the recital's capacity-plus audience compares future performances (unfavorably, I dare say) to this one, if the lengthy standing ovation accorded the two is anything to go by. I, for one, am not particularly looking forward to forthcoming duo recitals that happen to feature any of the compositions Pelassy and Hupmann played...

Musical events are almost always marked by highs and lows. One composition is rendered beautifully, another much less so. This recital, however, had all of the magnificent highs and none of the lows whatsoever. Take the Mozart sonata and the repeat I referred to earlier. What made it so delightful was that the second time around the duo very subtly applied different coloring. As for the Franck's sonata - it's been a very long time since I last heard it in concert - but this was the first time that I became aware of the multitude of voices it contains. I've never found the long introductory passage of Ravel's Tzigane easy to follow, until Pelassy's bold strokes took hold of me. When it comes to Brahms, well, I'm a bit of a Brahms freak, and from the moment they sailed in the sonata by this German master, who can be surprisingly sensual, I just sat back and enjoyed....

If there is one thing that stood out in the recital it was the natural flow of their renditions : the ease, clarity and coherence of line following line, of one phrase moving effortlessly to the next, of movement succeeding movement, of superb coloring. The depth of their musicianship is incomparable, especially that of Pelassy who played all the fiendishly difficult pieces from memory. To all these, add the verve, zest and freshness of youth... A prodigious musical talent serving a stunning performance!"

Gus Kairupan, The Jakarta Post, 02/12/1993

"A quoi servent les artistes ? A nous faire rêver... Nous avons retrouvé le même Frédéric Pelassy, impressionnant de facilité et de musicalité, déjouant avec la dextérité d'un vieux brigand les difficultés les plus redoutables. Et en gardant toujours une fraîcheur qui fit merveille... Nous promettions un concert exceptionnel : il le fut."

Ouest-France, 18/02/1994  

"LE REVEIL DE LA MUSIQUE DE CHAMBRE. Légèreté et solennité, virtuosité et gaieté, Frédéric Pelassy et Philippe Villa ont émerveillé le public de leur dextérité en jouant, avec toujours un regard complice, une musique proche de la perfection."

Ouest-France, 29/07/1994

"Une virtuosité saisissante associée à une poésie rare. Les auditeurs se souviendront longtemps de la sonorité pénétrante de l'archet de Frédéric Pelassy...  Une soirée inoubliable."

J. V., Var Matin, 08/08/1994

"Une Sonate à Kreutzer tragique, poignante, où le dialogue violon-piano vogue dans les hautes sphères. Apparemment impassible, Frédéric Pelassy abat les difficultés une à une, sereinement; le phrasé est très beau, le vibrato soulève ce qu'il faut d'émotion, l'artiste poursuit son chemin sans étalage outrancier, accompagné par un Christophe Simonet tout en finesse, absolument attentif à son partenaire. On attend l'explosion : elle vient subrepticement sans qu'on s'en aperçoive. Moment admirable. Dans cette communion Pelassy-Simonet-Beethoven, la magie opère. Les deux artistes laissent parler la musique, se retranchant derrière leur instrument. Le Tragique gagne une majuscule."

Le Progrès, 29/04/1995

"He looked so young and tender, amidst the concert hall columns, carrying along his cumbersome violin case. With his casual sweater and jeans, you could have mistaken him for one of the kids selected in these schools for super-gifted youths. But at rehearsal, the conductor of the Symphony Orchestra greeted him with a bent and addressed him respectfully. And when the concert was over, yesterday evening, there was no doubt in the public that he was a maestro. A maestro receiving the homage of an endless ovation - a maestro radiating a sudden and impressive nobility with his tails, his violin, his music..."

Elena Bei, Dniepr Viechernill, 12/06/1995

"Passion, émotion, accord parfait... Frédéric Pelassy et Philippe Villa ont fait vibrer le public durant tout le récital."

Ouest-France, 12/07/1995  

"FREDERIC PELASSY, PETIT PRINCE DU VIOLON. Très à l'aise, il a impressionné le public par ses interprétations sans partition de Bach, Ysaÿe, Prokofiev, Paganini. Maîtrise déconcertante, technique époustouflante... Comme le confie l'organisateur, 'tout ce que peuvent faire quatre cordes, un archet et cinq doigts est utilisé à vous donner le vertige'."

Le Télégramme de Brest, 08/07/1996

"Avec sa longue silhouette d'adolescent, sa présence, un 'son' bien à lui et un jeu subtil, Frédéric Pelassy a conquis les mélomanes venus nombreux à ce concert exceptionnel. C'est avec une impressionnante facilité qu'il a interprété Mozart, Fauré, Schubert, Sarasate... Il a cette tranquille simplicité qui n'appartient qu'aux grands artistes."

Le Trégor, 08/08/1996

"L'EVIDENCE. Lorsque l'alacrité de la fougue conjuguée à la maturité de la technique font merveille... Force est d'en convenir : le violoniste Frédéric Pelassy et son complice Yukio Yokoyama n'ont de leçon à recevoir de personne."

Centre-France, 10/11/1996

"AUFBRUCH INS BRAHMS-JAHR. Der Solopart war mit Frédéric Pelassy, ein höchst begabter Geiger der jüngsten Generation, vorzüglich besetzt. Sein schöner, vornehmintensiver, primär lyrischer Ton und eine imponierend sichere und geschmeidige Spieltechnik machten ihn zum bestens geeigneten Interpreten des Werkes, der den Klang- und Ausdrucksbereichen bis hin zum schwungvollen, volkstümlich-ungarisch gefärbten Rondo-Finale eindrucksvoll gerecht wurde. Der Beifall fiel danach entsprechend begeistert aus."

Barbara Weitbrecht, Bonner General Anzeiger, 08/01/1997

"We had been told he was a genius. And he is one indeed!"

Hokkaïdo Shimbun, 18/02/1997

"DEJA AU SOMMET. Frédéric Pelassy a fait merveille auprès du public. Musicalité et richesse lyrique avec Franz Schubert, puissance et technicité avec Robert Schumann... Ces oeuvres ont suffi pour créer une incomparable chaleur musicale et établir, par un fluide invisible, le contact entre l'artiste et tous les mélomanes. Pour tous, des instants frappant à la fois le cœur et l'esprit."

Le Républicain Lorrain, 10/03/1998

"INTERPRETATION MAGISTRALE DE FREDERIC PELASSY. Des moments magiques pour tous"

P. R., Le Progrès, 21/05/1998

"FARBENREICHER KLANG. Frédéric Pelassy spielte Beethovens Violin-Romanzen und Konzert D-dur mit schlankem, innigem Ton... Seine virtuose Technik, die blitzsaubere Intonation und die makellose Ausgeglichenheit der Tongebung verblüfften. Mit zwei Zugaben für Violinesolo dankte Pelassy für den starken Beifall. In einer Caprice von Paganini brillierte er mit souveräner Technik, um einen Sonaten-Satz von Bach in edler Schönheit erstehen zu lassen."

G. Bischoff, Mannheimer Morgen, 15/06/1998

"ZU PUREN HÖRVERGNÜGEN wurde das Spiel des Geigers Frédéric Pelassy. Der ehemalige Menuhin-Schüler weiss in virtuosem wie ebenso sensiblem Spiele in ausgezeichneter Fingertechnik seiner Wertwollen Geige rein und klar klingende Töne zu entlocken, welche ans Zauberhafte grenzen."

Erwin Kolb, Oberländisches Volksblatt, 18/08/1998

"Vértigo en cuatro cuerdas."

Vanguardia Liberal, 26/09/199

"Frédéric Pelassy est un authentique aristocrate du violon, capable de démontrer autant d'intelligente modestie que de panache, sans jamais détourner l’œuvre à son profit. Belle preuve d'honnêteté artistique chez ce jeune homme dont la précoce maturité soumet une technique impeccable aux seules exigences de la musique et de la poésie."

Centre-Presse, 20/10/1998

"Eine Souveränität, die zu bestaunen war."

Salzburger Nachrichten, 21/12/199

"Du grand art, de la poésie musicale.

La Voix du Nord, 03/02/199

"Une virtuosité sans pareille mais aussi une sensibilité hors du commun."

Presse de la Manche, 04/05/2000 

"Frédéric Pelassy is a player not only of singular technical skill and refinement, but also with a mature insight into the music's essence. In Debussy, Brahms, Beethoven, his interpretations had an inevitability and idiomatic grasp of each style that was impeccable... As for the Tzigane and the dazzling Paganini caprice as encore, both confirmed technical brilliance and underscored musicianship of depth, capable of finding soul in music in which many can only find fireworks."

L. Taylor, Evening Post, 15/09/2000

"VIOLINIST'S VIRTUOSITY AND DEEP FEELING ENTHRALL. Extreme technical security and elimination of unnecessary movement are the hallmarks of Pelassy. Opening with Brahms, the young violinist settled immediately in his undemonstrative style, wasting nothing but giving his all to the melancholy and lyricism of the work. The fluid legato style that gave depth to the darker tones in Brahms gained intensity and vivacity for the kaleidoscope of moods in Debussy and Franck... As for Ravel's Tzigane, the very first stroke of Pelassy's bow stamped 'conqueror' on the work, which the composer intended as a piece of 'diabolic difficulty'... An outstanding performance and a world-class performer."

Elisabeth Bouman, Otago Daily Times, 18/09/2000

"Beethovens Kreutzersonate als Zielpunkt. Die Ernsthaftigkeit des jungen Künstlers Pelassy, seine Konzerterfahrung und die spürbare Sicherheit, sich künstlerisch auf dem richtigen Weg zu befinden, ließen sich schon an der Wahl seines Programms ablesen. Mit ‘Thème et variations’ für Violine und Klavier von Olivier Messiaen, mit César Francks ‘Sonate pour piano et violon’ A-Dur und der ‘Kreutzer-Sonate’ von Ludwig van Beethoven, konzipierte Pelassy ein Programm mit Stringenz und Anspruch, weit entfernt von den Wegen platten Virtuosentums und vordergründiger Applaushascherei.

Wohltuend sachlich war auch die Art des Vortrags der beiden Künstler. Hier störte kein aufgesetzter Gestus, keine manierierte Bewegung lenkte ab vom Prozess der Transformation der Notengrapheme in lebendige Musik. Hohe Konzentration und eine starke Fokussierung auf das Werk, auf das Zusammenspiel und auf den Klang zeichnete beide Musiker aus.

Beide, Violinist und Pianistin, kannten präzise ihre Wege, übernahmen - wann immer ihr Part es erforderte - die Führung, ordneten sich unter und passten sich an. Auf diese Weise entstanden transparente Klanggebilde, die - fragil oder auch kompakt - die Struktur der Musik nachzeichneten, ihre tonalen, rhythmischen und metrischen Muster verfolgten und so dem Hörer leichter ein Nachverfolgen der musikalischen Schichtungen und Verdichtungen ermöglichten.

Messiaens musikalische Sprache erschließt sich dem Zuhörer nämlich nicht unmittelbar... Pelassy wagte den Vortrag eines solch schwer zu verstehenden Werkes. Seine Zuhörer nahmen diese Musik mit großem Interesse wahr. In seiner Sonate übernimmt Franck die Variationstechnik von Beethoven und die Art dessen motivischer Arbeit... Aber auch hier verschleiern kontrapunktische Verdichtungen, entfernte Tonarten und schwierige Rhythmen die strenge Logik in dieser Sonate, so dass die Musiker auch hier wieder außerordentlich gefordert waren, um die nötige Hörtransparenz zu ermöglichen.

Beethoven, die Wiener Klassik schließlich, ist vertrautes Terrain. Die ‘Kreutzer Sonate’ ist wohl deshalb so beliebt, weil sie für Klavier und Geige einen immensen konzertanten Zugriff darstellt und spieltechnisch alle zu Beginn des 19. Jahrhunderts möglichen Anforderungen in sich vereinigt: Trillerketten, schnelle Tonrepetitionen, Staccato-Triolen und reichstes Fioriturenwerk beim Pianisten. Barbara Witter spielte hier ihre ganze Klasse aus und unterstrich nachdrücklich auch ihr solistisches Können und ihre perfekte Anschlagtechnik. In Tongebung, Intonation, Technik und musikalischer Durchformung präsentierte sich Pelassy ebenfalls perfekt.

Der begeisterte Beifall dankte den beiden Künstlern für eine anerkennenswert engagierte, musikalisch anspruchsvolle und künstlerisch hochstehende Performance. Zu Ovationen steigerte sich der Beifall, als Pelassy mit dem ‘Tzigane’ von Maurice Ravel und einer Paganini Caprice dankte."

Reiner Pfaffendorf, Donauwörther Zeitung, 9/10/2000

"STANDING OVATIONS FÜR PELASSY UND WITTER. Würdevoller konnte der Abschluss der Konzertsaison kaum sein, als dass sich nach der Zugabe der berühmten 'Tzigane' von Maurice Ravel die zahlreich erschienenen Zuhörer von den Plätzen erhoben und beiden Künstler lang anhaltend Beifall spendeten... 

Pelassy verfügt über eine geigerisch großen strahlenden Ton, mit dem er mühelos große Konzertsäle füllen kann, und den er von piano bis pianissimo in schönen Klangfarben zu differenzieren weiß... In der César-Franck-Sonate beeindruckte er durch seinen klaren, strahlend warmen Ton. Bei der 'Kreutzersonate' wusste er mit den wunderschön gespielten Doppelgriffen in der Eröffnung das Publikum im Spannung zu versetzen, worauf Barbara Witter im warmen, kernigen, nicht knalligen 'Forte' antwortete. Stilistisch sicher und schön dann nachfolgendes Dialogisieren bis hin zu den berühmten Sekundschritten, welche den so kämpferischen Hauptteil einleiten. Hier wurde in Wahrhaft musikantisch entfesselter Art ein wahrer Sturm entfacht, der den Zuhörer in Spannung hielt, der man sich nicht entziehen konnte."

Hans-Ulrich Sauer, Halberstädter Tageblatt, 12/04/2001

"BRILLIANT PERFORMANCE BY FREDERIC PELASSY. The world renowned violinist gave a spectacular show of brilliance and vigour, when he performed for more than two hours... The audience was taken to a dream land by the music that effortlessly flowed from the strings of his violin. A truly uplifting performance that left the audience enthralled."

Sakheni Dlamini, The Swazi Observer, 15/05/2001

   

"GENIAL. EL VIOLONISTA FREDERIC PELASSY SE LUCE EN LA 'SINFONÍA ESPAÑOLA' DE LALO. El solista elegido para éste concierto no podía no ser francés. Y no sólo eso: debía forzosamente ser un virtuoso, de lo contrario es imposible interpretar esta partitura, plagada de dificultades técnicas y con una extensión considerable. No es casualidad  que hiciera varias décadas que este concierto ne se tocaba en su totalidad - los cinco movimientos - en nuestro medio.

 

El solista fue Frédéric Pelassy, un verdadero fenómeno de 29 años - con apariencia de adolescente - que tocó cada una de las notas con una perfección absoluta sin que se le notara el mínimo esfuerzo. Sus dedos finísimos parecian acariciar las cuerdas, a la vez que 'volaban' por el diapasón con una precisión milimétrica. Y ni qué hablar del instrumento en el qual tocó, cuyo volumen natural y la calidad de sonido explican su valor de cambio..."

Eduardo Roland, El Pais, 20/09/2001

"Charme, jeunesse et talent… conjugués d'une aussi harmonieuse manière, furent ovationnés par un parterre d'auditeurs debout, ravis de ce moment privilégié."

Ouest-France, 26/09/2001 

"UNE PRESTATION DE HAUT NIVEAU. Frédéric Pelassy adore jouer Bach et il en fera une singulière démonstration. Il réalisera un véritable exploit lors d'une panne d'électricité, continuant à jouer le Presto de la Première sonate dans le noir, tandis que le public retenait son souffle. La situation délicate dont il s'est accommodé aussi aisément a soulevé le respect et une grande admiration."

L'Orne, 26/12/2001 

"VIRTUOSIC VIOLIN. Stunning is just one way of describing the performance of violinist extraordinaire Frédéric Pelassy. He began the programme with Bach Partita N°2. Virtuosic playing, clear delineation of voices and effective build-ups to climatic points made this an exciting performance. Prokofiev's Sonata Opus 115 had its wit and tongue-in-cheek humour brought out successfully, with mature insight into the composer's unique style. Powerful playing marked Ysaye's third and fourth sonatas, while Pelassy's technical brilliance did not leave room for doubt in two Paganini Caprices… In general, flawless intonation, clear pizzicatos, clarity and neatness of projection, masterful left hand and bowing techniques especially with stopped notes, rapid changes of strings and double octaves made this performance one to remember." 

Neecia Majolly, The New Indian Express, 15/01/2003

"DAZZLING VIRTUOSO. At 30, Frédéric Pelassy showed great maturity, a picture of concentration in a powerfully expressive and dedicated performance. Sheer stamina and ability to stay focussed manifested itself for well over an hour, without any interval.

His phenomenal gifts were heard to striking effect in the recital, ranging from Paganini's pyrotechnics to relatively simple lyricism, in which the music's line was controlled with considerably subtlety. His markedly long and delicate fingers surely aided his agility in traversing Bach's 3 & 4 note chords, while also enabling him deftly to traverse brilliant faster movements of the other pieces. Immaculate technique was evident also in Paganini's fiendish technical extremity, Pelassy's playing being so precise and secure it raised goosebumps in the listener... Such musicality and his pure sweet tone were enhanced by his fabulous Guarneri violin, so tonally luscious that every note glowed.

Pelassy showed a keen appreciation of the style of each composer, illuminating the music from within and not projecting his own personality. He maintained rhythmic patterns without extremes of tempo, vibrato was carefully controlled, and articulate phrasing with pleasing dynamics emphasised his thoughtful approach. Bach's opening Allemande showed his grasp of all the contrapuntal elements. The Courante is a rather awkwardly paced dance but he gave this movement pure singing tone and extraordinary ability of shading with the bow, particularly in the double-stopping that dominates great areas of this movement. And, of course, the great Chaconne left one in no doubt of instrumental perfection ideally married to the expressive potential of the music. In [Prokofiev and Paganini], Pelassy pointed the music forward, carrying the listener with him, giving the pieces the same single-minded high seriousness of intent coupled with warmth and humanity in phrasing.

 

Pelassy's playing was highly musical in its sense of line, his intonation spot-on even in the highest reaches, and his ease of execution brought the evening to a breathtaking close."

Malini White, The Hindu, 17/01/2003

"Frédéric Pélassy und Barbara Witter in Mannheim : SÜFFIGER FRÜHLINGSDUFT. Deutsch-französische Freundschaft ist dann besonders schön, wenn sie im künstlerischen gute Früchte trägt. Barbara Witter... hat eine sehr aussichtsreiche Duo-Partnerschaft mit dem junger französischen Geiger Frédéric Pélassy begründet. Sämtliche Sonaten für Violine und Klavier von Ludwig van Beethoven wird das Duo Pélassy/Witter dieses Jahr in mehreren Städten aufführen... Begonnen wurde das Konzert mit der 1. Violinsonate D-Dur. Den  jugendlich unbeschwerten Impuls dieser Musik wusste das Duo mit ebenso großer Natürlichkeit wie Charme und Esprit einzufangen. Genau austariert war das Zusammenspiel, hörte man präzise durcheilte Parallelläufe ebenso wie enge dialogische Geflechte, wechselseitiges Aufgreifen von musikalisierten Gedanken.

Angenehm  leicht  und  unverkrampft, geigerisch süffig und geschmeidig formte der junge Geiger seinen Part, mit warmen, sehr flüssigem Ton und gesanglicher Phrasierung. Überaus gestenreich musizierte das Duo, zwischen legerem Spiel, Innigkeit und Emphase, zwischen feinen Innenblicken und herzhafter Extravertiertheit sehr viel an Beredsamkeit entwickelnd. Formbewusstsein und musikantische Spontaneität befanden sich dabei in schönster Balance. Höchst begeisternd war dabei immer wieder auch das lodernd vitale, bei aller Rasanz sehr klar durchfederte Klavierspiel von Barbara Witter.

Die Interpretation der 5. Sonate F-Dur, der “Frühlingssonate”, atmete nicht nur Frühlingsduft, sondern war zugleich von großem Ernst und gestalterischer Klassizität durchzogen. Dabei ließ das Duo das richtige Verhältnis aus Energie und Nachgiebigkeit wirken; Kraftvoller Zugriff und schwelgerische Hingabe, Humor und Tiefsinn, Innigkeit und lusterfüllte Spiellaune bedingten sich einander auf das Ergiebigste. Und für tiefe Empfindung, beseelten Ausdruck öffnete dieses Spiel schönste Räume.

Zum Abschluss ein Werk des gereiften Beethoven: die 7. Sonate c-moll. Kräftig entschieden und konturenstark, passioniert und in loderndem Ansturm begegnete das Duo dieser Musik. Edle Farben und große Klangrede wurde ausdrucksstark durchströmt im „Adagio cantabile“, gefolgt von kräftig befeuerter Heiterkeit im Scherzo. Stiebend, druckvoll und mit entschlossener musikantischer Virtuosenlust fegte das Finale einher."

Rainer Köhl, Die Rheinpfalz, 24/04/03  

"BACH EN COMBRAILLES: RENCONTRE NOCTURNE... Dans la petite église de Landogne, seulement éclairée de quelques chandelles, le jeune violoniste Frédéric Pelassy a littéralement sidéré son auditoire en interprétant les trois premières sonates et partitas pour violon seul (il interprétera les trois suivantes dimanche après-midi à Miremont).

Dans un silence de piété musicale, un tourbillon de notes a déferlé de ce chef d'oeuvre, sommet de la musique pour violon, si ce n'est de la muique instrumentale. Les polyphonies suggérées par l'écoulement fluide de cet instrument, pourtant monodique, et interprétées par coeur par le prodige disciple de Yehudi Menuhin, ont plongé le public dans un état d'admiration rarement atteint... Les deux 'bis' particulièrement brillants n'ont eu raison du public qu'à la faveur de l'heure très avancée."

La Montagne, 17/08/2003

"VICTOIRE EN LA MAJEUR. DE LA GRANDE MUSIQUE INTERPRETEE DE FACON EXEMPLAIRE AU CHATEAU DE DIRMSTEIN… Alors qu'il redonnait en bis le mouvement lent de la sonate opus 24 de Beethoven, Frédéric Pelassy a montré qu'il savait tirer de son instrument les sons les plus chauds, les plus flexibles, les plus caressants. Ainsi a-t-il célébré avec onctuosité la cantilène de l'adagio molto espressivo, concluant avec la pianiste Barbara Witter une soirée que l'on n'oubliera pas de sitôt... Les dix sonates pour violon et piano de Beethoven sont au programme des deux artistes, qui doivent les jouer dans différentes villes… et il ne fait pas de doute que cette noble musique leur tient à cœur. En ce jour de célébration nationale, ce n'est pas à Berlin qu'on a fait fête. C'est à Dirmstein près de Bonn, ancienne capitale fédérale et patrie de Beethoven, que le cœur de la République a battu - tant était exemplaire l'interprétation de ces pièces, toutes dans la sonorité lumineuse de La majeur, ou à peine voilée de la mineur.

"Victoire en La majeur" est le titre d'une nouvelle d'Ephraim Kishon où la VIIème Symphonie de Beethoven joue un rôle. Si l'on songe que Richard Wagner avait qualifié d'"apothéose de la danse" un des mouvements de cette symphonie, alors on est en droit de concevoir la sonate à Kreutzer du duo Pelassy-Witter comme une "apothéose de la joie de jouer". Le Beethoven des années médianes ne cesse de fasciner par l'apparente spontanéité de son discours musical. La profusion jaillissante des idées, leurs irruptions incessantes sont le signe de son génie créateur fou. En même temps - et c'est cela, précisément, qui fait le grand art - tout ce flux est coulé dans une solide forme classique, parfaitement mise en valeur par les deux musiciens.

Grâce à leur technique stupéfiante et à la perfection de leur ensemble, Frédéric Pelassy et Barbara Witter ont réussi à mettre à nu tout ce que recèle la partition. Même dans les passages les plus insensés, la ligne musicale ressortait parfaitement sous leurs doigts. Les interventions impétueuses du compositeur, qui a toujours beaucoup à dire en matière de tons et d'accents, voisinent avec les cantilènes les plus célestes (comme dans l'adagio de l'op. 30 n° 1). Les deux chambristes ont eu raison des défis que représente une telle juxtaposition de structures contraires.

Avant la sonate op. 30 n° 1, naturellement en La majeur, on avait entendu, également en trois mouvements, la sonate en la mineur (ne vous faites pas de souci, le mouvement central en tout cas est en majeur). Et pas un seul des neuf mouvements interprétés pendant la soirée ne pourrait être distingué comme un peu moins convaincant. Dès l'introduction tempétueuse du presto de la sonate en la mineur, les auditeurs étaient sous le charme - fascinés au point qu'il faudra attendre la fin du premier mouvement de la Kreutzer, colosse qui venait en fin de programme, pour qu'une spectatrice laisse enfin fuser l'expression verbale du sentiment commun: "dément !"

Le piano précieux de la maison était grand ouvert de façon concertante, pour faire pendant au son parfois transperçant du violon. C'est ainsi qu'on joue Beethoven, au lieu de l'étirer vers un romantisme de pacotille comme font tant d'interprètes. De la grande musique idéalement jouée, voilà qui résume une "soirée classique" à Dirmstein, si hautement classique qu'elle en coupait le souffle. Une victoire en La majeur." 

Traduit de Heinrich Weiler, Die Rheinpfalz, 06/10/2003

"UN VIOLONISTE DE GÉNIE À ACHKHABAD. Frédéric Pelassy revenait pour la troisième fois, avec un récital pour violon seul dans la grande salle… De son jeu incroyablement facile et libre, le virtuose a une fois de plus subjugué le public. Tout entier à son jeu, ne faisant qu'un avec son violon, il a offert à la salle de ces minutes de bonheur qui ne se retrouvent pas. Son interprétation brille à la fois par sa perfection et sa profondeur, il a le don de conférer à chaque note élévation et naturel en même temps - ces composantes mêmes du génie créatif. Il enseigne, littéralement, comment il faut comprendre et écouter la musique…. En écoutant les grandes œuvres ainsi interprétées on comprend effectivement: de même qu'il faut un prophète pour apporter au peuple la parole de dieu, de même il faut un musicien hors du commun pour manifester l'essence de la musique. " 

Traduit de Novosti Turkmenstana, 24/11/2003

"Frédéric Pelassy, violoniste français virtuose issu de l’École Menuhin, atteignit des sommets en exécutant l’intégrale des Sonates et Partitas pour violon solo de Bach. Il remporta tous les suffrages du public, non seulement par sa maîtrise souveraine de toutes les difficultés techniques de ces œuvres délicates, mais surtout par son jeu très intuitif et une émotion communicative. Au-delà d’une interprétation parfaite et convaincante de la partition, il permit à son auditoire d’en dépasser la perception sensorielle et d’entrevoir ainsi sa dimension spirituelle. On vit les auditeurs retenir leur souffle dans la plus extrême concentration lorsqu’il exécuta la fugue à trois voix extraite de la Sonate n°1 en sol mineur (BWV 1001) et la célèbre Chaconne en ré mineur, issue de la Partita du même nom (BWV 1004). Souhaitons que ce jeune artiste ne tarde pas à être invité à un festival Bach en Allemagne."

Peter Roy, Bulletin d'information de la Neue Bach-Gesellschaft, décembre 2003

" Avec sa partenaire pianiste Barbara Witter, le violoniste Frédéric Pelassy a constitué un duo qui vibre à l'unisson, idéal de cohésion artistique… Du soleil au cœur, une clarté enjouée dans le geste, le duo a fait danser d'un pied ailé les sonates Op. 12 n° 2 et n° 3 de Beethoven. Saisissant avec une spontanéité déconcertante l'impulsion juvénile et libre de cette musique, il a su la restituer avec autant de naturel que de charme et d'esprit. Le jeu des deux artistes se conjuguait de façon vivante, lumineuse et engagée - rendant de façon particulièrement jubilatoire les échanges de dialogues et les césures rythmiques. Climat presque euphorique, où traits piquants et élans enthousiastes étaient entrecoupés d'éclats flamboyants magnifiques. Le jeune violoniste a ciselé sa partie de façon chantante et ductile, avec un phrasé flexible et un son chaud, très fluide. Son éloquence a illuminé les mouvements lents, la musique parlant, chantant sous ses doigts. Un miracle de souplesse, décliné dans une riche palette de timbres et de nuances.

On sent que les deux musiciens prennent à jouer un plaisir brûlant. Du coup, le Beethoven qu'ils nous livrent apparaît dans son génie créatif libre, débarrassé de son masque courroucé de grand prêtre. Leur interprétation a la liberté joyeuse de l'improvisation jaillissante, mariée de façon idéale à la conscience des formes.

Expressif, animé, le piano de Barbara Witter apporte sa vitalité enflammée, sa réactivité ailée. Un mélange de légèreté, de profondeur et de classicisme formel a présidé à l'exécution des sonates op. 30 n° 3 et op. 96. Le duo sut trouver le juste équilibre entre énergie et plasticité : puissance des attaques et volupté de la détente, humour et gravité, intimité calme et jubilation se coordonnaient de la façon la plus convaincante. Tout en ouvrant les plus beaux espaces à l'expression d'une profonde sensibilité et d'une merveilleuse spiritualité. " 

Traduit de Heinrich Weiler, Die Rheinpfalz, 06/10/2003

" En clôture du 35ème anniversaire des séries internationales de musique de chambre, Frédéric Pelassy et Barbara Witter ont donné à l'hôtel de ville le troisième volet de l'intégrale des dix sonates pour violon et piano de Beethoven… Au programme les sonates en La majeur et Mi bémol majeur de l'opus 12, Sol majeur op. 30 n° 3 et Sol majeur op. 96. Comme ils avaient déjà joué les compositions plus dramatiques et héroïques comme la Kreutzer ou la Septième, ni le public ni les interprètes n'avaient la tâche facile. C'étaient en effet les éléments lyriques qui dominaient essentiellement ici, beaucoup plus exigeants au plan de la forme et de la musicalité. Cependant la compréhension très fine des deux chambristes pour la structure de ces œuvres, le toucher différencié de Barbara Witter et l'art du son de Frédéric Pelassy, alliés à leur respect intègre de la partition, firent de la soirée une expérience merveilleuse. 

Une interprétation de haut niveau, également raffinée, présida à l'exécution des quatre pièces. Le caractère malicieux et plein d'humour du début de l'opus 12 en La majeur fut restitué de façon aérienne et allègre, on se laissa emporter par les syncopes, bien mises en valeur, du thème nerveux du troisième mouvement. Dans le premier mouvement de la sonate en Mi bémol majeur, la seule à receler une certaine dimension dramatique, Barbara Witter sut démêler avec virtuosité les entrelacs difficiles de la partition. Un jeu brillant de netteté. Convaincante aussi, la façon dont le violon déroula, avec chaleur et émotion, les superbes inflexions de la mélodie sur ces figures d'accompagnement pleines de fantaisie. Et pleine d'intelligence, l'idée de maintenir en suspens le passage conduisant au troisième mouvement, comme s'il s'agissait d'une conclusion. Le premier mouvement de la sonate Op. 30 n° 3 émerveilla par son humeur libre, il était à la fois saisissant et, en même temps, difficile à surpasser en expressivité. Le menuet fut rendu avec un naturel délicat, un jeu espiègle et transparent mit en valeur les accents scottish du troisième mouvement.

D'un semblable niveau s'avéra l'interprétation de l'op. 96, dernière sonate que Beethoven ait écrite pour violon et piano. Loin de tout sentimentalisme et pourtant profondément sensible, la voix du violon s'élevait tendre et lyrique, dans le dialogue introductif. Le choral énoncé au piano dans le second mouvement respirait grandeur et élévation. Dans les passages ardus du mouvement final, le violoniste emportait la conviction par la justesse et la netteté de ses traits… Après que le public se fût mis debout, au terme d'une longue ovation, les artistes le remercièrent en interprétant le deuxième mouvement de la sonate en ré mineur de Brahms." 

Traduit de Hans Ulrich Sauer, Halberstädter Tageblatt, 13/01/2004

" 'Émotion incomparable', 'magnifique', 'quel artiste!' Les mélomanes enthousiastes ne tarissaient pas d'éloges à l'égard de la prestation de Frédéric Pelassy, venu une nouvelle fois en l'église Notre Dame se produire en concert solo…' Un grand moment de bonheur!'"   

Ouest-France, 14/08/2004

" CLASSIQUE DE HAUT NIVEAU AU THEATRE DE DOMFRONT. Du grand art au service de la grande musique".

Ouest-France, 24/03/2006

" FESTEJO CON TALENTO Avec la pianiste Valentina Diáz-Frénot, le violoniste Frédéric Pelassy a donné une version brillante du Tzigane de Maurice Ravel et des Airs Bohémiens de Pablo de Sarasate. Les applaudissements redoublèrent après qu’il ait interprété, avec une maestria totale, le concerto de Mozart KV 218 en Ré majeur. Il était accompagné par l’Orchestre Symphonique de la Ville d’Asunción… Une interprétation qui souleva une ovation dans l’Auditorium."

Traduit de Roberto Gómez, Ultima Hora, 19/04/2006

" RENCONTRES MUSICALES ET SPIRITUELLES: FREDERIC PELASSY L’ENCHANTEUR Frédéric Pelassy a offert une fois encore beaucoup d’émotion au public troyen. « Une fois encore », parce que ce talent exceptionnel est déjà passé par Troyes et certains s’en souviennent très bien...

Ce dimanche, c’est du Jean-Sébastien Bach que cet artiste, aussi charmant et courtois qu’immense, est venu interpréter pour illustrer à lui tout seul l’itinéraire spirituel proposé par Dominique Roy et lu par Anne Husson. La première Sonate d’abord, puis la troisième Partita et enfin la seconde Partita. Pour nous dire : « En regardant toujours la Lumière, elle finit par se poser sur le visage, elle y reste et le transfigure ».

Comme toujours en ces Rencontres, l’auditoire s’est laissé absorber, imprégner par les mots et l’atmosphère musicale. Un moment choisi de recueillement, de méditation profonde, transcendante, que chacun vit à sa manière. Mais cette fois, subjugué par autant de virtuosité, par une précision d’interprétation inouïe, c’est aussi à l’émerveillement et à l’admiration que le public dominical s’est laissé prendre. Sonorité magnifique, musicalité étonnante, intelligence musicale redoutable… Frédéric Pelassy : un nom que les Troyens n’oublieront pas de sitôt.

A noter qu’il joue sur un violon aussi beau et joliment timbré que récent, un bijou créé par le luthier allemand Greiner, il y a… sept ans ! De quoi interpeller les adeptes et inconditionnels des instruments anciens".

Lionel Reynier, L’Est Eclair, 8/08/2006

" PELASSY ET PAVLOVA STARS DU VIVAT  Ils entrent en scène presque en riant… et forment un duo que l’on devine très complice avant même que les premières notes ne résonnent. Pour rendre hommage à Mozart, ils interprétaient cet après-midi-là quatre sonates composées à différents moments de la vie du génie, permettant de retracer son évolution…

Pendant près de deux heures, piano et violon semblent s’être écoutés, suivis, répondu dans des mouvements provoquant des impressions très variées, d’une certaine légèreté à des notes plus graves, de la joie à la mélancolie.

A l’entracte, les auditeurs mélomanes louaient le talent des deux musiciens, les plus jeunes cherchaient à comprendre comment les doigts pouvaient courir aussi vite sur les instruments. Chaudement applaudis au terme du concert, les artistes sont remontés sur scène pour interpréter le Rondo Capriccioso de Saint-Saëns, morceau d’un style tout à fait différent, grâce auquel les moins mélomanes ont pu apprécier encore plus leur virtuosité… Les deux artistes ont été ovationnés par un public debout".

M. T., La Voix du Nord,  12/12/2006.

" VIOLON ET PIANO POUR UNE RENCONTRE AU SOMMET Dans la salle de concert comble, Frédéric Pelassy et Tatiana Pavlova ont tous deux magnifiquement interprété l’intégrale des sonates du compositeur norvégien Edvard Grieg, dans le cadre des Rencontres Musicales… Aisance, délicatesse, subtilité dans le jeu additionnel des deux chambristes ont su rendre toute la finesse de l’œuvre de Grieg. Soutenu avec expression et vitalité par une interprétation exemplaire de la pianiste, l’archet raffiné du violoniste, virevoltant avec chaleur et émotion sur les superbes inflexions de la mélodie, ainsi que sa main gauche, d’une agilité et d’une précision redoutables, ont su éblouir les auditeurs. Le public sous le charme leur a fait un triomphe."

La Montagne, 13/07/2007

 

" No word can express the pleasure... to hear such a wizard violinist and sensitive musician as Frédéric Pelassy. What a beautiful violin sound, what a purified elegance, I could go for pages with sheer delight. Thank you for that unforgettable experience."

Clara Schumpeter, Ottawa Xpress, 29/11/2007

" UN RECITAL DE VIOLON EBLOUISSANT

Ouest-France, 2/06/2008

" UN MOMENT D’EXCEPTION Frédéric Pelassy, grand jeune homme mince aux allures d’adolescent, a retenu l’attention de l’auditoire d’une église comble pour ce concert organisé dans le cadre des Rendez-vous du Mémorial… C’est un artiste de stature internationale qui a fait vibrer le public aux accents de Bach, Prokofiev, Ysaye et Paganini. Le public, captivé, passe avec lui de la légèreté de la danse à l’émotion la plus intense, jusqu’à ce dernier silence fragile, quand la dernière note finit de résonner et que les applaudissements sont encore en suspens. C’est aussi un artiste abordable, qui vient rejoindre l’assistance après les remerciements… «  J’apprécie de jouer dans des lieux comme celui-ci, où je suis proche du public… » Un succès".

 Le Journal de l’Orne, 5/06/2008

" VENDREDI SOIR, LES MUSICALES ONT OFFERT UN SPECTACLE FEERIQUE Violoniste de renommée internationale, Frédéric Pelassy a littéralement envoûté la salle dès les premières minutes. Sans aucune partition, son interprétation des Quatre Saisons d’Antonio Vivaldi a fasciné l’ensemble du public. On entend murmurer des « il est merveileux », « on sent le plaisir qu’il éprouve à jouer », ou encore « il est incroyable ». D’autres ne prononcent mot, préférant fermer les yeux et se laisser transporter au son du violon, la peau frissonnant de plaisir et d’émotion. Le chœur Musica Mediante dirigé par Pablo Pavon a ensuite assuré avec force et brio le Gloria du même Vivaldi. Grandiose !"

Delphine Chanal, La Montagne, 21/07/2008

" ARTISTAS INVITADOS BRILLAN EN EL TEATRO MUNICIPAL Vibrant et prenant s’avéra le concert donné jeudi soir par l’Orquesta Sinfónica de la Ciudad de Asunción (OSCA). Le spectacle, qui avait lieu au Théâtre Municipal, s’articulait sur la participation de deux artistes étrangers de premier plan, dont la prestation remplit pleinement les attentes du public. Sous la direction du chef Biélorusse Andrei Vasileusky, l’orchestre interpréta en première partie l’ouverture d’Oberon, de Carl Maria von Weber...Venaient ensuite la Romance en Fa du grand Beethoven et le Rondo Capriccioso Op. 28 de Camille Saint-Saëns. L’entrée en scène du violoniste français, qui sait arracher les plus belles inflexions à son instrument, marqua un moment crucial de la soirée. L’artiste fit la démonstration de sa maîtrise du vibrato et des nuances. Il enchanta par sa virtuosité, la clarté de son jeu, la perfection de l’intonation. Chaque note avait l’éclat une pierre précieuse tout juste polie... Le concert s’acheva avec la Symphonie n° 2 en Ré major Op. 43 de Jean Sibelius. Mais beaucoup d’auditeurs dans la salle - y compris l’auteur de ces lignes - en auraient volontiers écouté davantage."

Traduit de Marco López, Ultima Hora, 06/09/2008

"DANS LES PLUS HAUTES SPHERES On se souvient de ce qu’Albert Schweitzer voyait en la célèbre Chaconne pour violon seul de Bach : un combat entre la douleur et la joie, qui s’affrontent avant de se fondre ensemble dans une grande résignation.

L’œuvre marquait le couronnement final d’un concert sensationnel donné dans la grande salle de l’Hôtel de ville par Frédéric Pelassy …Les six sonates et partitas appartiennent aux œuvres les plus difficiles à exécuter de la littérature pour violon seul. Cependant l’ouvrage le plus étonnant de cette série reste la seconde Partita BWV 1004, qui enchaîne à la suite de l’Allemande, de la Courante, de la Sarabande et de la Gigue cette fameuse Chaconne – 257 mesures pour une cathédrale de variations érigées sur les piliers harmoniques et mélodiques de son thème inoubliable. Sans effet de manche aucun, Frédéric Pelassy fit s’élever la musique de Bach dans les plus hautes sphères, bien que toutes les notes en aient été précisément et solidement ancrées au sol. De sa réflexion mesurée, l’artiste tenait fermement en laisse sa propre forte vitalité. C’est que pour lui, la musique n’est pas un « performing art » mais bien une partie de la vie. Ce n’est qu’ainsi qu’il a pu faire parler ce grand programme, jusqu’à l’œuvre géante de Bach.

Bach était aussi au début, avec la première sonate BWV 1001. Le soliste français y a cherché simplement tout ce que le baroque avait en lui de promesses, exprimées dans la forme sonate en trois mouvements telle qu’elle se dessine dans le couple Adagio (prélude) et Fugue, la Sicilienne mélodieusement tissée et un Presto très rapide. Aussi bien la BWV 1001 que la BWV 1004 furent sublimées par son art admirable de faire ressortir la multiplicité des voix. Que la pianiste Ragna Schirmer ait, deux jours auparavant, interprété la version Busoni pour piano de la Chaconne est un hasard particulièrement heureux pour les mélomanes présents aux concerts du 84ème Festival Bach.

On sait que le compositeur du mélodrame tant apprécié « Pierre et le Loup » ne s’est pas laissé impressionner par les rappels à l’ordre des sbires du parti communiste soviétique. Le langage musical de Serge Prokofiev est dru, ses repères sont la guerre et la paix. Les rayons de cette dernière imprègnent le premier mouvement de sa sonate Op. 115, ouvrage tardif. Frédéric Pelassy a assemblé les parties mélodiques de ce mouvement délicat en un microcosme riche de changements d’humeur.

Viennent ensuite les variations. Le thème est souvent traité avec une minutie alambiquée : doubles cordes, renversement de tierces, jeu à l’octave. Pélassy a traversé ces embuches avec une sûreté de somnambule ; et démontré finalement – via portamenti, pizzicati et harmoniques - les derniers raffinements de sa technique dans la 3ème sonate de l’Opus 27 d’Ysaye. Perfection du jeu, portée par une coordination idéale des techniques de doigts et d’archet. Ajoutez à cela un son merveilleux et un instrument superbe – comment ne pas attendre en bis un caprice signé Paganini ?"

Dr. Uta ZIEGNER, Thüringer Allgemeine, 14/08/2009

 

"UN DUO SENSIBLE ENTRE FORCE ET DELICATESSE  On a souvent l'occasion d'assister à de bons concerts... Parfois, plus rarement, une sorte de magie opère, lorsque les interprètes habités par la musique, capturent le public. Ce fut le cas, vendredi soir, avec Frédéric Pelassy au violon et Éliane Reyes au piano. Ces jeunes musiciens ont donné un très beau programme avec Mozart, Debussy, Franck, Ravel et Milhaud. Leur maîtrise technique était telle que l'interprétation des plus redoutables difficultés paraissait aller de soi, naturelle, offrant au public une interprétation d'une intense sensibilité, alternant force et délicatesse, dans un dialogue entre les deux instruments parfaitement équilibrés. Ce fut un grand moment de musique, un moment exceptionnel."
La Montagne, 3 octobre 2009

 

"TOUT BRAHMS EN TROIS ACTES Privilège pour les fidèles de plus en plus nombreux du Cercle musical : un trio de concertistes - Jean Dubé, piano; Frédéric Pelassy, violon; Florent Audibert, violoncelle -, a donné la « répétition générale » du CD qu'ils vont enregistrer de trois Trios de Brahms. On ne voit cela nulle part ailleurs : trois trios, en trois actes de pure musique de chambre, tout-Brahms, en même temps qu'un portrait vivant du génial allemand.

Premier acte, l'opus 8 où passe, mélancolique, inquiète et fantasque, la fée du romantisme allemand. Second acte, l'opus 87 invoque la tradition beethovénienne, dans un tempo harmonique plus vaste et dans un climat de fête avec ses appels de cors et sa robustesse ensoleillée. Dernier acte, l'opus 101, pur chef-d'œuvre entre le Lied et la symphonie, qui va plus loin dans le mystère, dans le rêve et dans la magie. Un trio très équilibré de solistes de même valeur. Une réussite qui fait bien augurer du CD. Un grand moment dans la saison du Cercle musical."

Aurore Busser, Nice Matin, 16 février 2010

 

"UN DUO EN OR POUR UN RECITAL TROUBLANT Le spectacle était encore de qualité, au Vivat, avec Frédéric Pelassy, interprète d'excellence du romantisme, et Christophe Simonet, pianiste émérite, théâtral et vivant. Pour célébrer le 200° anniversaire de la naissance de Robert Schumann, les deux artistes ont offert une musique du XIX°siècle galopante, tendre et passionnelle, se relayant dans les notes et s'accordant sur une respiration. Schubert, Schumann, Franck... Ils ont fait la part belle au lyrisme lumineux des trois grands musiciens, pourtant si différents... Musique appréciée, dévorée, savourée... Dans le public, et malgré la tempête qui sévissait à l'extérieur, tous avaient une tranche de bonheur parfait à l'abri."

La voix du Nord, 4 mars 2010

 

"UN MOMENT DE GRACE AU FESTIVAL BACH DE MÜHLHAUSEN; Entre les deux sommets que représentaient les week-ends d’ouverture et de clôture, le 84e Festival Bach de la Neue Bachgesellschaft à Mühlhausen offrit à ses visiteurs un autre grand moment, que l’on doit à l’entremise de membres de la NBG et à un sponsor privé. Le 12 août, Frédéric Pélassy (Paris), donna à l’Hôtel de Ville, dans la salle historique du conseil, à l’acoustique extraordinaire, un récital d’œuvres de Jean-Sébastien Bach, Serge Prokofiev et Eugène Ysaye. Ce concert attira une foule d’auditeurs bien qu’ait été programmée le même jour une excursion à Erfurt. Les dernières notes de la Partita N°II en ré mineur BWV 1004 et sa célèbre Chaconne s’étant tues, le public se déchaîna dans un tonnerre d’applaudissements et ne rendit sa liberté au violoniste virtuose qu’après de plusieurs rappels. Le lendemain, on put lire dans le Thüringer Allgemeine, sous la plume de la musicologue Uta Ziegner : « Sans esbroufe, avec des sons précis et bien ancrés dans la terre, Frédéric Pélassy a élevé la musique de Bach à des sphères célestes. Tout en réserve, sa supériorité est parfaitement maîtresse de sa vitalité. Pour cet artiste de 37 ans, la musique n’est pas un art de la performance, elle est une partie de la vie. "
Peter Roy, Neue Bach Gesellschaft 2010
 

"A l'affiche d'un concert exceptionnel, John Hoyland et Frédéric Pelassy ont émerveillé l'assistance, le public était debout pour saluer les deux musiciens."

La Dépêche, 25 mai 2012
 

"Tous ces œuvres illustrant la musique classique européenne du XX e siècle, Frédéric Pelassy les a interprétées de façon magistrale. Son jeu superbe, en symbiose parfaite avec la performance elle aussi remarquable de l'Orchestre symphonique national, a fait sur l’auditoire une impression profonde."

Sergei Gradtsky, Padrobno 15 juin 2012

 

"Connu pour hypnotiser le public par sa sensibilité extraordinaire, Pelassy a prouvé encore une fois qu’il faisait partie des plus grands, captivant l'attention de milliers de fans de musique classique du Sri Lanka. A Colombo, il jouait en quatuor à cordes avec trois des musiciens les plus doués du Sri Lanka, Ananda Dabare, Avanti Perera et Dushyanthi Perera. Il a pris le public sous le charme de son romantisme échevelé."

Ruwanthi Abeyakoon, Daily News, 18 juillet 2012

 

"Pour ce premier rendez-vous du Festival d'automne, Frédéric Pelassy et Vincent Warnier ont enchanté le public. L'auditoire a pu constater que le violon et l'orgue pouvaient parfaitement s'harmoniser. Évidemment, cette association demande un grand sens de la complicité : l'orgue de Vincent Warnier a su se faire discret au profit du violon de Frédéric Pelassy. Les deux artistes chevronnés n'ont pas boudé  leur joie de jouer ensemble, plaisir communiqué au public qui a pu renouer avec l'acoustique de la Collégiale "

Paris-Normandie, 29 septembre 2012


"FREDERIC PELASSY ENVOÛTE LA SALLE. Son récital pour violon solo a fasciné le public, créant dans la salle une atmosphère extraordinaire. .. Les dernières notes du concert ont soulevé l'extase."
Sana Riyaz, The Pioneer, 6 novembre 2012

 

"Sonorité et expressivité lumineuses et limpides - l'élégance, bien plus encore que la virtuosité, déjà phénoménale." 

Le Télégramme, 9 août 2015

 

"FREDERIC PELASSY BISSE DEUX SOIRS. 'Oh... Temps, suspends ton vol'... En citant ces mots un spectateur a quitté le temple, après avoir bissé, et longtemps ovationné, le violoniste Frédéric Pelassy. Ce virtuose de l'archet a livré deux concerts d'un haut niveau avec des programmes différents, à deux soirs d'intervalle. Les nombreux spectateurs qui ont assisté aux deux ont été unanimes pour dire combien ils avaient été fascinés par l'interprétation magistrale du jeune soliste...

Frédéric Pelassy a cette tranquille simplicité qui n'appartient qu'aux grands artistes. La finesse, la clarté du son, la beauté tout simplement transparaissent à tout moment à l'écoute de cet éblouissant virtuose qui sait vivre si intensément la musique avec brio et émotion."

M. L. Corres, Le Midi Libre, 15 août 2015

 

"C'est sans aucun doute la plus belle soirée d'un festival chargé de beaux récitals que cette dernière du cinquième Mélomania. Un festival doté d'une très belle affiche... Et I'étonnant Frédéric Pelassy. De la part d'un des violonistes français les plus reconnus sur la scène internationale, on se serait attendus  à être davantage intimidés. Si son jeu l'est, intimidant, sa personne ne l'est pas le moins du monde. Et pourtant. La 2° partita de Bach, connue pour sa difficulté, est abordée avec une extrême simplicité. De même que la sonate Opus 115 de Prokofiev, alors que la seule vue de la partition fait transpirer tout violoniste qui se respecte. Ainsi que les sonates d'Ysaÿe, étourdissantes.

 

Chez Monsieur Pelassy, ces partitions semblent des jeux d'enfant. La musique coule comme une rivière dans un programme joliment bâti  entre pièces ardues et d'autres plus romantiques ou charmantes. Final avec quelques caprices acrobatiques de Paganini. Ovatrion debout de la part des mélomanes avertis qui étaient venus rien que pour lui. Et le jeune homme mince, perdu dans son queue de pie, s'éclipse avec son bon sourire d'enfant..."

A.M., Nice-Matin, 18 août 2015

 

"Un fin joyau est venu couronner la Saison. Des sons purs, tout dans la retenue et délicates nuances."

Dernières Nouvelles d'Alsace, 30 août 2015

 

"C'était le concert à ne pas rater, un concert exceptionnel! La rencontre de deux musiciens, amis passionnés, se perpétue depuis plusieurs années mais ce soir-là était magique ! John Hoyland au piano et Frédéric Pelassy au violon, ont fait vibrer plus que jamais les voûtes de la vénérable église à l'acoustique extraordinaire. Un regard furtif l'un envers l'autre et la musique de Mozart, sonate n°13 en Si bémol majeur envahit l'espace ; suivie par la sonate op. 12 n°1 en Ré majeur de Beethoven interprétée avec brio, pour terminer la première partie du concert sous les applaudissements fournis de l'assemblée captivée. Le retour des artistes a été accueilli avec joie par un public généreux et sincère. La sonate de Brahms n° 3 op. 108 en ré mineur : un dialogue magnifique entre les artistes, le public silencieux, tout au bonheur de l'écoute. Les airs bohémiens de Sarasate, merveilleusement interprétés par Frédéric Pelassy, dextérité suffocante, ont transporté le public, avant plusieurs bis. On aurait aimé que cet instant ne finisse jamais. "

La Dépêche du Midi, 15 juillet 2016

 

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